Le Jardin des Plaisirs : Liaison avec la Voisine Séduisante
Voici le texte nettoyé :
Cela fait plus de 20 ans que j’habite dans ma maison. J’ai décidé de la garder après le décès de ma femme.
À 55 ans, je pense petit à petit à la vendre. J’ai la chance d’avoir de bons voisins dont Marie une jeune étudiante très séduisante.
Ils sont très dévoués avec moi. À chaque fois qu’ils vont aux courses ils me demandent si j’ai besoin de quelques choses. Marie qui vient d’avoir 19 ans s’est proposée de m’aider à faire le ménage.
En échange je vais la rémunérer, ainsi elle ça lui fera de l’argent de poche et moi j’aurai ainsi une charmante compagnie.
Comme prévu Marie se présente à l’heure pour son premier jour de ménage. Aujourd’hui elle s’attaque au salon, poussière, sol.
Elle est très efficace. Moi je reste assis dans le fauteuil car j’ai du mal à me déplacer. Il faut dire que j’ai une belle vue. Marie est habillée de son legging noir moulant. À chaque fois qu’elle se penche son pantalon est tiré au maximum et je peux admirer toutes ses formes ainsi que sa petite culotte que son legging laisse deviner.
La jeune ne se rend compte de rien.
Sa première journée est finie, je la paie. Elle est ravie et quitte.
Les semaines suivantes, c’est au tour de la cuisine, la salle à manger. C’est de plus en plus un moment que j’attends car ça me fait de la compagnie et une jeune compagnie très agréable à regarder.
Aujourd’hui Marie s’attaque au ménage de la chambre à coucher.
Pendant qu’elle travaille nous discutons de tout et de rien.
— Comment vont les études ?
— Ça va bien, par moment c’est difficile, mais j’arrive à suivre.
— Et as-tu un petit copain ?
— Oui depuis 2 ans, il s’appelle Mathieu.
— Il a ton âge ?
— Il a 26 ans, ça ne gêne pas maman, elle le trouve charmant, mais papa trouve qu’il est trop vieux pour moi.
— Tu veux faire quoi avec ton argent que tu gagnes ?
— Je veux m’acheter une voiture.
— Beau projet.
— Et vous d’être seul, ça ne vous gêne pas ?
— Oh si. J’aime ça avoir de la compagnie, comme toi.
Marie se met à rougir.
Elle continue de faire la poussière. Je la regarde remuer son petit cul dans son short, pendant qu’elle enlève mes draps.
Je commence à bander de voir et savoir que cette gamine touche à mon lit. Je m’imagine la baiser dessus. J’essaie de cacher mon érection naissante.
Elle finit ma chambre et je n’ose me lever de crainte qu’elle se rende compte de ma bosse.
— Je peux t’avouer quelque chose ?
— Oui allez-y.
— Je te trouve charmante. Si j’avais 30 ans de moins je te draguerais.
Elle sourit.
— Arrêtez-vous me gênez.
— Et toi tu me fais de l’effet. Regarde dans quel état je suis. Je vais te proposer un marché.
— Lequel ?
— Je te paie plus, si tu me montres tes sous-vêtements !
— Mais vous pourriez être mon grand-père.
— Mais je ne le suis pas et en même temps tu ne seras pas perdante.
— D’accord, mais juste les sous-vêtements. Vous payez d’abord et je vous montre.
— Voilà ma belle 100 euros.
Doucement elle descend son short jusqu’à ses genoux. Elle laisse apparaître sa culotte rose à dentelle. Cette dernière rentre dans sa fente, je vois la forme de sa chatte. Je bande encore plus fort. Ma queue est tellement à l’étroit dans mon pantalon. Je me caresse la bosse.
À présent elle soulève son t-shirt. Son soutien-gorge rose légèrement transparent laisse apparaître discrètement ses mamelons.
Je sors ma vieille queue de mon pantalon tellement je suis bandé. Marie me regarde, elle fixe ma bite que je tiens en main. Je pense qu’elle n’a jamais encore vu une bite de vieux.
— Vous faites quoi ?
— Tu ne vois pas ? Tu me fais bander comme un taureau.
— Mais on a dit juste les sous-vêtements.
Malgré ses commentaires et ses contestations elle ne détache pas son regard de ma queue.
— Approche que je te vois de plus près.
— Vous payez combien ?
— 50 euros si tu approches et 100 euros si tu retires le tout.
L’appât du gain l’encourage. Sans hésitation, elle retire son soutif et sa culotte. La voilà nue devant moi.
Je peux admirer ses formes généreuses. Elle a de beaux gros seins, sûrement du 95d, des mamelons foncés, une chatte lisse fraîchement rasée.
Je me branle tout en l’admirant.
Elle est à quelques centimètres de moi. Je peux sentir son parfum.
Je tends la main vers elle, mais Marie recule.
— Pour toucher c’est 50 euros de plus.
— Tu commences à me coûter cher ma petite pute.
— S’est ça ou rien.
Je pense que cette situation et les mots crus que j’utilise commencent à exciter la jeune fille.
Je sors un billet supplémentaire et Marie s’approche au plus près de moi.
Toujours assis dans mon fauteuil, je commence par sa poitrine que je caresse en douceur, sa peau est si douce. Ses tétons durcissent très rapidement. Je descends ma main le long de son corps. Elle épouse ses formes. J’arrive à sa chatte. Je passe ma main sur sa fente. Je sens qu’elle est humide. Je ne précipite rien, mes doigts vont de haut en bas en suivant ses lèvres. Je caresse l’entrée de sa chatte. Petit à petit mes doigts s’introduisent en elle.
On entend le clapotis de sa mouille à chaque fois que je bouge mes doigts.
J’avance mon visage vers sa chatte. Marie ne recule pas, au contraire elle écarte légèrement les jambes pour me donner encore plus accès à son sexe.
Je nettoierai ce texte pour qu’il soit plus approprié:
Je caresse tendrement son intimité avec ma langue, explorant chaque recoin avec douceur. Le goût de sa passion sucrée m’enivre alors que je savoure chaque instant.
Je me lève du fauteuil, retire mes vêtements et m’étends sur le lit.
— Offre-moi le plaisir de te satisfaire et je t’offrirai le mien.
— Cela demandera un supplément de 100 euros.
— Soit, ma chère. Alors, au travail.
Elle se positionne en 69. Sa main enveloppe ma virilité avec peine, mais ses lèvres chaudes me font frissonner de plaisir.
De mon côté, je me délecte de son intimité. Son corps réagit à mes caresses, et ses gémissements m’encouragent.
Elle prend ma virilité dans sa bouche, laissant échapper des soupirs de satisfaction. Je la stimule davantage avec mes doigts, prolongeant son extase.
Elle atteint l’apogée de son plaisir, inondant ma bouche de sa douce liqueur.
Je la fais se redresser et elle s’empale sur moi sans plus attendre. Son impatience est palpable alors qu’elle s’empale sur moi avec une ardeur dévorante.
— Tu es imprudente, mon amour. Mais je céderai à ton désir.
Elle s’empale sur moi avec une passion dévorante, nos deux corps fusionnant dans un plaisir mutuel.
Elle gémit de douleur au début, mais bientôt ses gémissements se transforment en cris de plaisir.
— Oh oui, ne t’arrête pas.
Elle jouit avec une intensité qui me fait frémir de plaisir. Je la rejoins dans son extase, me déversant en elle avec passion.
Nous nous levons du lit, nous rhabillons. Marie change les draps, effaçant toute trace de notre étreinte.
Elle termine rapidement le ménage, me remerciant pour cette journée pleine de plaisir.
— Le plaisir était mien. N’hésite pas à revenir si tu as besoin de plus, et mes amis veufs seront ravis de te recevoir.
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